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23 septembre 2015

Suite des Dogmes et réflexions personnelles.

L'Église Universelle 

A l’origine le mot '' Église " signifie en grec ekklêsia, ''assemblée'' et non pas un édifice, un monument. 

L’histoire du christianisme* n’a pas réellement servi la cause de la chrétienté**, bien au contraire, elle est à l'image des Sadduccéens, des Pharisiens puis de bien d'autres apostats qui fondèrent l'église catholique au 2e siècle.   

Les principes qui guidaient les premiers chrétiens n’avaient rien de commun avec les pratiques et l'enseignement du clergé. Ils ne manipulaient pas les foules en jouant sur leurs sentiments ou en les menaçant du feu de l’enfer. Ils ne se contentaient pas de prêcher le royaume de Dieu, ils donnaient eux-mêmes des exemples en matière d’amour et d’humilité. Comme leur a enseigné le Seigneur Christ Jésus. Jn 13:34-35 ; Mt 22:34-40 ; Lc 6:27-38 ;                                   Rm 12:17-21 ; 13:8-10...

*Ensemble des religions fondées sur la personne et l'enseignement de Christ Jésus. **Ensemble des pays ou des peuples unis dans la foi chrétienne.

Son Apostasie.

Les chrétiens apostats du 2e siècle adoptèrent l’apparat de la religion Romaine païenne.

Ils s’écartèrent de la pureté de leurs origines bibliques pour se revêtir du vêtement et des titres qu’arboraient les païens romains et pour s’imprégner de la philosophie grecque.

Au 2e siècle, un flot de gentils ayant reçu une formation philosophique se convertit au christianisme. Ces admirateurs de la sagesse des grecs pensaient qu’il existait des points communs entre la philosophie grecque et les enseignements des écritures.

Quelquefois, chacun à sa manière, a dénoncé l’idée que la philosophie est un don spécial de Dieu aux Grecs au moyen de la raison humaine, au même titre qu’il gratifia les juifs de la révélation directe.

Les pères de l’église entreprirent de montrer systématiquement que derrière le langage simple dans lequel l’écriture se plaît à s’exprimer se cachent les enseignements des philosophes exposés dans les termes techniques obscurs qu’ils inventaient dans leurs académies.

Une telle attitude laissait la porte ouverte à l’infiltration de la philosophie et de la terminologie grecque dans les enseignements de la chrétienté, particulièrement la doctrine de la Trinité et la croyance à une âme immortelle. 

Les pères de l’église se mirent à rechercher dans la terminologie philosophique deux termes techniques adaptés, l’un pour désigner la réalité selon laquelle chaque membre de la trinité est une personne distincte, l’autre pour signifie leur unité commune sous-jacente*.

Ils durent admettre que la conception d’un Dieu trine est un mystère que la raison humaine est incapable de résoudre.

Presque toute les religions tournent autour de la croyance selon laquelle l’âme humaine est immortelle et se rend dans un autre monde ou transmigre dans une autre créature à la mort.

Aujourd’hui, la plupart des religions de la chrétienté partagent cette croyance.

La subtile influence de la philosophie grecque constitua un facteur déterminant de l’expansion de l’apostasie qui suivit la mort des apôtres.

Dans le droit fil de l’enseignement grec de l’immortalité de l’âme sont venus le ciel, l’enfer,     le purgatoire**, le paradis, les limbes***. 

Aujourd’hui, dans différentes églises de la chrétienté, les évêques sont des nantis de prestige et de pouvoir, ils sont généralement bien rémunérés et font souvent partie de l’élite dirigeante de leur nation.

* Sous-jacent signifie : qui ne manifeste pas ouvertement entre autre : caché. 

** Le Purgatoire signifie : état ou lieu symbolique de purification temporaire, pour les défunts morts en état de grâce mais qui n’ont pas encore atteint la perfection qu’exige la vision béatitude.

 *** Les Limbes : séjour où les justes de l’ancien testament attendaient la venue rédemptrice du Christ : séjour de félicité des enfants morts sans le baptême.

 La Papauté

Le titre de Pape (du grec papas, père) ne fut pas employé pendant les deux premiers siècles de notre ère. Il semble qu’il fallut attendre le 3e siècle pour qu’un évêque de Rome soit appelé pape. Ce titre fut conféré au pape Calliste. 

A la fin du 5e siècle, le titre pape désignait d’ordinaire l’évêque de Rome et personne d’autre. Toute fois, c’est seulement au 11e siècle qu’un pape put exiger que ce titre ne s’applique qu’à lui seul.

L’un des premiers évêques de Rome à imposer son autorité fut Léon 1er (Pape de 440 à 461 de notre ère.) Léon s’appropria le titre autrefois païen de pontifex maximus, que s’attribuent encore les papes d’aujourd’hui et que portèrent les empereurs romains jusqu’à la fin du 4e siècle.

Léon 1er se justifiait en s’appuyant sur l’interprétation catholique des paroles de Jésus contenues en Mt 16:15-19. Il déclara que puisque Pierre était le premier parmi les apôtres, l’église de Pierre devait se voir accorder la primauté parmi les églises.

Par cette manœuvre, Léon 1er établissait clairement que si l’empereur détenait le pouvoir temporel à Constantinople, en Orient, pour sa part, il exerçait le pouvoir spirituel depuis Rome, en Occident.

La réalité de se pouvoir fut ensuite démontrée quand le Pape Léon III couronna Charlemagne empereur du Saint Empire romain en l’an 800.

Depuis 1929, les gouvernements considèrent le Pape de Rome comme un dirigeant d’un État souverain distinct, la cité du Vatican.

On décerne au Pape de nombreux titres, tels Vicaire de Jésus Christ, Successeur du prince des apôtres, Pontife suprême de l’église universelle, Patriarche d’occident, Primat d’Italie, Souverain de l’État de la Cité du Vatican. Nous lisons dans la Bible une mise en garde pour quiconque qui s’élèverait et utiliserait le titre de Père sur le plan spirituel, car cela signifierait une imposture pour le Père céleste. Mt 23:8-12 ; Ac 10:25-26 ; 2P 2:1-22.

Une autre cause de division fut la vénération des images. Au 8e siècle, les évêques d’Orient s’insurgèrent contre cette forme d’idolâtrie, ils entrèrent alors dans ce qu’on dénomme leur iconoclasme, (destruction des images.) Avec le temps, ils retournèrent à l’usage des icônes.    Ex 20:3-4 ; Dt 5:6-9.

Il faut se rappeler que le christianisme fut imposé à l’attention des empereurs à cause de l’agitation suscitée au sein du peuple par les prêtres païens qui s’alarmaient des progrès remarquables de cette foi. 

Trajan (98-117 de notre ère) fut donc amené à proclamer des décrets visant l’élimination progressive du nouvel enseignement qui poussait les hommes à haïr les faux dieux.

L’histoire de l’église est basée sur la corruption et l’avidité de ceux qui avaient intérêt de faire sa puissance, sa fortune et sa notoriété.

La Trinité 

Définition : Doctrine fondamentale des religions de la chrétienté.

D’après le symbole d’Athanase, patriarche d'Alexandrie et père de l'église grecque, il y aurait trois personnes divines (le Père, le Fils et le Saint Esprit). Chacune d’elles serait éternelle, toute puissance, aucune ne serait supérieure ni inférieure aux autres, chacune serait Dieu, mais elles formeraient toutes ensemble qu’un seul et même Dieu.

D’autres parties du dogme soulignent que ces trois personnes ne sont pas des individualités distinctes, mais trois modes d’existence de l’essence divine.

Voilà pourquoi certains tenants de la Trinité prétendent que Jésus Christ est Dieu, ou que Jésus et le saint Esprit sont Dieu Yahvé.

Chaque membre de la Trinité est Dieu !

Trinité, chose inexplicable car pure invention de la part de l’église de Rome, une façon comme une autre de se différencier et de se positionner comme étant la vraie église de Christ,           car plus c’est compliqué mieux c’est pour le commun des mortels.                                           La Parole de Dieu Est avant tout, La Pensée de l’Esprit Saint du Très Haut, du Père, du Créateur, l’Invisible. Sa Parole qui s’Est Fait Chair en Messie Jésus Son Fils devient, Le Verbe, Sa Toute 1er Création, Son 1er Né, en toutes choses et en toutes vies de toute la Création. Etant d’Essence Divine Créatrice du Dieu Invisible, Messie Jésus Est Le Dieu du monde visible par Qui toutes choses fût créées pour Lui. Dieu Le Père Est Unique, Messie Jésus Le Fils Est Unique comme le Père et le Fils Sont Différents ! Voici les réfs bibliques qui argumentent cette pensée : Gn 1:3 ; Jn 1:1-5 ; Is 9:5-6 ; Ph 2:9-11 ; Hé 1:1-10 ; 1Jn 5:20 ;      Ap 4:1-11 ; 5:1-14.

Le St Esprit, c'est le gène héréditaire mais certes non pas une tierce entité, mais l'Essence Divine du Père au Fils.

 L'Âme 

Définition : dans les Écritures, le mot  Âme rend l’hébreu nèphèsh et le grec psukhè. 

 D’après l’usage qu’en fait la Bible, ce terme désigne soit une personne, soit la vie qui anime, l’une ou l’autre.

Pour bien des gens, cependant, l’âme est la partie immatérielle ou spirituelle de l’être humain, qui survit à la mort du corps physique. 

La croyance selon laquelle l’âme continue d’exister après la dissolution du corps est matière à spéculations philosophiques ou théologiques plutôt que simple article de foi, d’ailleurs, nulle part les Saintes Écritures n’enseignent expressément cette croyance.                                          Ps 146:4 ; Ec 9:1-10 ; Mt 10:28.

                                                                             La Mort

Définition : cessation de toutes les fonctions vitales.

Après l’arrêt des activités respiratoire, cardiaque et cérébrale, la force vitale quitte peu à peu les cellules de l’organisme.

Les Écritures indiquent également que la mort des humains et des animaux est la conséquence de la perte de l’esprit (force agissante) de vie (héb : rouah hayyim.)

Le premier homme et la première femme ont été créés parfaits, ils avaient la perspective de vivre à jamais. Dieu les avait dotés du libre arbitre. Obéiraient-ils à leur créateur par amour et reconnaissance pour tout ce qu’ils avaient reçu de Lui ? Gn 3:17-19 ; Ec 3:19-22 ; 9:5-6,10 ;    Jn 12:20-25 ; Rm 5:12-21.                                                                            

Le Purgatoire

Définition : « Condition ou lieu propre à l’autre monde dans lesquels, d’après la doctrine de l’église catholique, les âmes de ceux qui meurent en état de grâce, sans être lavés de toute imperfection, expient leurs péchés véniels non pardonnés, ou purgent une peine temporelle sanctionnant des péchés véniels ou mortels déjà absous et sont ainsi purifiées avant d’accéder au ciel. »

« En dernière analyse, la doctrine catholique du purgatoire est fondée sur la tradition, et non sur l’Écriture Sainte. L’église s’est appuyée sur la tradition pour soutenir l’idée d’un palier intermédiaire entre le ciel et l’enfer. »  

Les représentants de l’église catholique décrivent le purgatoire ainsi : « Beaucoup pensent que toutes les souffrances du purgatoire sont liées au fait que l’individu est conscient d’être momentanément privé de la vision béatifique, mais l’opinion la plus répandue veut qu’un châtiment effectif s’y ajoute.

Dans l’église latine, il est généralement admis que cette punition est infligée dans un feu littéral. Mais cette conception n’est pas indispensable à la croyance au purgatoire. 

Même si l’on choisit, à l’image des théologiens orientaux, de rejeter la notion de souffrances provoquées par le feu, il faut veiller à ne pas considérer le purgatoire comme exempt de toute souffrances véritables.

Il comporte toujours sa par d’affliction, de chagrin, de tristesse, de remords de consciences et d’autres peines spirituelles bien réelles capables d’infliger une vraie punition à l’âme.

Il faut se souvenir, en tout cas, qu’en dépit de leurs tourments ces âmes puisent une grande joie dans la certitude d’obtenir le salut. »

Rien d'ans la Bible ne fait mention d'un purgatoire où serait administrée une punition aux âmes privées de la vision béatifique. Lc 16:19-31 ; Rv 20:11-15

Le Baptême

Pour un adulte il n’est pas évident de discerner le vrai du faux,  du bien du mal, du bon et du mauvais, pour un nouveau né cela semble impossible !

Au travers de l’ignorance et de la crédulité des parents, le clergé a toujours fait croire avec malignité que leurs progénitures seront protégées du malin en plus d'être lavées du péché par le baptême. C’est ainsi à dessein, que l’église universelle a bafoué le libre arbitre du jeune futur adulte à fin d'élargire son cheptel pour devenir la première religion au monde. 

Le baptême est une décision personnelle pour la personne consciente de la signification. Elle seule fait le choix de se faire baptiser ou non. C’est, ''le libre arbitre'' !

Au fait pour son baptême dans l'eau en l'an 29, quel âge avait Jésus-Christ ?  

Jn 7:17… ; Mc 1:9-11.

Le Baptême selon les Actes 

Ac 2:36-41 ; 8:9-13 , 26-39 ; 10:37-48 ; 19:1-5 ; 22:12-16.

La signification du Baptême

1P3:18-21.       

  La Pâque

En héb: pèsah ; gr : paskha

Prescrite dans la Bible, elle fut instituée le soir qui précéda l'exode. Elle célèbre dans le même temps le début de la saison de la moisson de l'orge qui inaugure le cycle agricole annuel.        Dt 16:1-8-10.

La première Pâque fut observée à l’époque de la pleine lune, le 14e jour d’Abib (Nisan). Le premier mois de l'année selon le calendrier Hébraïque* et qui correspond à mars/avril d'après le calendrier grégorien**.

* Le calendrier hébraïque est un calendrier luni-solaire composé d'années solaire, de mois solaires et de semaines de sept jours commençant le dimanche et se terminant le samedi, jour du Sabbat.

** Le calendrier grégorien est le calendrier utilisé dans la majeure partie du monde. C'est un calendrier solaire conçu à la fin du XVIe siècle. Adopté à partir de 1582 dans les états catholiques et protestants, il s'est progressivement étendu au début du XX siècle. Son instigateur, le pape Grégoire XIII.

La Pâque était un mémorial qu'avait ordonné Yahvé à Moïse et Aaron : Ex 12:1-28.

La Bible établit clairement que Christ est le sacrifice de la Pâque et qu’il célébra le repas pascal le soir qui précéda sa mise à mort. 1Cor 5:7-8.

Chez les juifs, le jour commençait après le coucher du soleil et finissait au coucher du soleil le lendemain.

Le 14 nisan commençait après le coucher du soleil dans la soirée du 13 nisan.                                                                                 

En résumé, Jésus fut arrêté le soir du 13 nisan (jeudi) qui précéda le repas Pascal. Le lendemain, le 14 nisan (vendredi), le jour de son jugement, de sa crucifixion sur le poteau où il expira et où il fut placer dans le tombeau avant le couché du soleil, avant que commence le jour du sabbat (samedi) afin que soit accompli avec exactitude ce détail temporel du modèle typique (l’ombre***) donné dans la Loi. Hé 10:1-18.

*** Quand les jours d’un homme sont “ comme une ombre qui a décliné ”, c’est que sa mort est proche. Ps 102:12 ; 109:23.

Oblation : action par laquelle on offre (qqch) à Dieu. Oblation du pain et du vin.

Holocauste : sacrifice par le feu d’un animal entier. S’offrir en holocauste. 

Signification Prophétique. 

Alors qu’il encourageait les chrétiens à mener une vie pure, l’apôtre Paul attribua à la Pâque une signification d’image.

Il dit : En effet Christ notre Pâque a été sacrifié. 1Cor 5:7. Il compara donc Jésus à l’agneau pascal.

Jean le baptiseur avait désigné Jésus ainsi : Jn 1:29-30.

En disant cela Jean pensait peut-être à l’agneau pascal, ou bien au mouton qu’Abraham avait offert à la place de son fils Isaac, ou encore à l’agneau offert chaque matin et chaque soir sur l’autel de Dieu à Jérusalem. Gn 22:13 ; Ex 29:38-42.

Libation : qui consistait à répandre, en l’honneur de Dieu, une coupe de vin, de lait, etc.

Jésus accomplit certains aspects de la célébration de la Pâque, notamment le fait que le sang sur les maisons en Égypte délivra les premiers-nés de la mort par l’ange destructeur.            1Th 1:9-10 ; Ep 1:3-14.

Il avait été prophétisé qu’aucun des os de Jésus ne serait brisé, et cela fut accompli à sa mort. Ps 34:20-21 ; Jn 19:35-37.

Ainsi, la Pâque que les Juifs célébrèrent pendant des siècles fut une des choses dans lesquelles la Loi fournit une ombre des choses à venir qui mena à Jésus Christ, “ l’Agneau de Dieu ”. Hé 10:1-4 ; Jn 1:23-29.

La viande était accompagnée des gâteaux sans levain (le pain d'affliction) puis des herbes amères pour rappeler la vie des israélites pendant l'esclavage. Ex1:13-14 ; 12:1-20,29-34 ;     Dt 16:1-3.

La Pentecôte.

Elle signifie, le cinquantième jour à compter du 16 nisan, jour où on offrait la gerbe de blé durant la fête des semaines, également appelée la fête de la moisson et le jour des premiers fruits murs. Lv 23:15-21; Ex 23:14-17; Nb 28:26-31.

C'est au jour de la pentecôte que Jésus répandit l'esprit saint sur le groupe de disciples.          Ac 2:1-4, jour de sa résurrection (dimanche), le jour ou les grands prêtres offraient la gerbe de blé. Hé 7:26-28.

Les disciples devinrent la nouvelle nation spirituelle de Dieu étant comparaient aux prémices du blé, les premiers fruits murs. 1Cor 15:23 ; Jc 1:16-18 ; 1P2:9-10.

40 jours après sa résurrection, au Mont des Oliviers et en la présence de ces disciples, Jésus Christ s'éleva et une nuée le déroba. Ac 1:1-14 ; 2:29-36.

 La Croix 

Jadis je portais une croix autour de mon cou comme font la plupart des personnes croyantes sincères, j’étais persuadé qu’elle me protégeait du mal.

Jusqu’au jour où j'ai fait la rencontre d’une personne qui me fit prendre conscience de la signification de la croix et me dit : imaginez qu’une personne tue vos enfants avec une quelconque arme, un couteau par exemple...

Porteriez vous au tour de votre cou en guise de symbole, l’instrument qui aurait servit à ôter la vie de vos enfants ? 

C'est depuis cette pertinante réflexion que j'ai pris conscience que j'avais beaucoup à apprendre de la Bible et qu'il me fallait l'étudier. 

Définition : La plupart des églises de la chrétienté enseignent que l’instrument de supplice sur lequel Jésus Christ a été mis à mort était une croix. Ce mot est tiré du latin crux.

Le mot grec rendu par « croix » dans de nombreuses traductions modernes de la Bible, est stauros.

En grec classique, ce terme désigné simplement un poteau dressé, ou pieu.

Plus tard, il en est venu à s’appliquer aussi à un poteau d’exécution muni d’une barre transversale.

C’est ce que reconnaît un dictionnaire biblique en ces termes : « Le mot grec (stauros) que l’on traduit par croix signifie à proprement parler poteau; c’est un pieu dressé, ou palis, auquel on pouvait pendre quelque chose, ou qui pouvait servir à clôturer un terrain.

Même chez les romains, la crux (dont dérive notre mot croix) devait être à l’origine un poteau droit. »

Il est ainsi défini : Bois coupé et prêt à être utilisé, bois de chauffage, bois de construction, étc. Pièce de bois, bûche, poutre, pieu, gourdin, bâton, poteau sur lequel les criminels étaient empalés, bois sur pied, arbre. Ac 5:30 ; 10:38-39 ; Ga 3:12-14 ;  Dt 21:22-23.

Dans le grec original, pas un seul des nombreux livres du Nouveau Testament ne contient la moindre phrase prouvant même indirectement que le stauros utilisé pour Jésus était autre chose qu’un stauros ordinaire.

Rien ne prouve, à plus forte raison, qu’il se composait non pas d’une, mais de deux pièces de bois clouées ensemble en forme de croix.

Ce n’est pas chose insignifiante que nos instructeurs nous trompent lorsque, traduisant les textes grecs de l’église dans notre langue maternelle, ils rendent le mot stauros par croix et qu’ils récidivent en faisant correspondre croix à stauros dans nos lexiques, sans prendre le soins d’expliquer que ce n’était en aucun cas la signification de ce mot aux temps apostoliques, que ce terme n’a revêtu ce sens principal, si tant est qu’il l’ait eu, que longtemps après et encore parce que, sans preuves valables, on a supposé pour une raison quelconque que le stauros sur lequel Jésus avait été exécuté avait cette forme particulière. 

Dans la Bible de Jérusalem : il est question de '' gibet ''. La Bible Crampon fait mention dans Ac 5:30-31 ; 10:39-40 : '' le pendant au bois. 

L’origine Historique de la Croix 

Des objets varies, marqués de croix de différentes formes, datant d’époque bien antérieures à l’ère chrétienne, ont été retrouvés dans presque toutes les parties du vieux monde.

L’Inde, la Syrie, la Perse et l’Égypte ont toutes fournie d’innombrables exemples de tels objets.

L’utilisation de la croix en tant que symbole religieux, dans les temps antérieurs au christianisme et parmi les peuples non chrétiens, peut probablement être considérée comme presque universelle ; et, dans de très nombreux cas, elle était rattachée à une certaine forme de culte de la nature.

La forme de la croix, deux poutres à angle droit, à son origine dans l’antique Chaldée, elle était employée comme symbole du dieu Tammouz (étant en forme de Tau mystique, initiale de son nom) dans ce pays et dans les pays limitrophes, y compris l’Égypte.

Vers le milieu du III e Siècle après J.C., ou bien les églises s’étaient écartées de certaines doctrines de la foi chrétienne ou bien elles les avaient travesties.

Pour accroître le prestige du système ecclésiastique apostat, les églises admettaient en leur sein les païens.

le Tau ou T, dans sa forme la plus employée, avec la barre transversale abaissée, qui fut adopté pour représenter la croix du Christ. 

Fait étrange mais incontestable, dans les siècles qui ont précédé la naissance du Christ et, depuis lors, dans les pays qui n’ont pas été touchés par l’enseignement de l’église, la croix a été utilisée comme symbole sacré.

Les adorateurs de Bacchus, en Grèce, de Tammuz, à Tyr, de Bel, en Chaldée, et d’Odin, en Norvège, représentaient chacune de ces divinités par un symbole en forme de croix.  Les prêtres égyptiens et les rois pontifes tenaient la croix en forme de Crux Ansata, qui représentait leur qualité de prêtres du dieu Soleil et portaient le nom de signe de vie.  

Le Paradis  

Le Nouveau Testament parle t-il d’un futur Paradis terrestre

ou

n’en est-il question que dans l'Ancien Testament ? 

Gn 2:8-15.  

Définition : les traducteurs de la version grecque des Septante ont appliqué fort justement le terme Paradis (Paradéïsos) au jardin d’éden, car celui-ci était de toute évidence un parc clos.

Dans les textes bibliques postérieurs à la genèse, le mot Paradis peut désigner, en 1) le jardin d’éden lui-même, en 2) notre globe lorsqu’il sera devenu semblable à ce jardin, en 3) les conditions de prospérité spirituelle que connaissent les serviteurs terrestres de Dieux, ou en 4) une situation céleste rappelant l’éden.

Il n’y a aucune raison biblique de diviser les écritures en deux parties et de juger la valeur de leurs déclarations selon qu’elles appartiennent à l’Ancien Testament ou au Nouveau Testament.

Ce qui est sûr, le livre le Cantique des cantiques (Ct), montre une magnifique image de ce qu'il adviendra du nouveau monde, la Jérusalem future. Ct 4:1-15 ; R v 2:7 ; 21:1-8 et la Jérusalem messianique. Rv 21:9-27 ; 22:1-5 ; Is 45:16-25 ; 55:1-13

Qui va au ciel ?

Les Écritures hébraïques n’avaient jamais fait entrevoir la récompense d’une vie céleste aux juifs fidèles. Elles annonçaient plutôt la restauration du Paradis ici bas, sur la terre.

En Dn 7:13 -14, il avait été prédit que lorsque la domination et la dignité et le royaume seraient donnés au Messie, les peuples, groupement nationaux et langues le serviraient.

Les sujets de son Royaume se trouvaient donc sur la terre.

L’un des malfaiteurs pendus en Lc 23:39-43, a exprimé l’espoir que Jésus se souviendrait de lui lorsque ce temps arriverait.

La Bible ne confirme pas l’idée selon laquelle Jésus et le malfaiteur sont allés au ciel plusieurs jours après.

Jésus avait annoncé qu’il ne serait pas relevé avant le troisième jour qui suivrait son exécution. Lc 9:22.

Dans l’intervalle, il n’est pas allé au ciel, car, s’adressant à Marie de Magdala après sa résurrection, il a déclaré Jn 20:11-18.

C’est seulement 40 jours après sa résurrection que ses disciples l’on vu s’élever de la terre et disparaître alors qu’il commençait son ascension vers le ciel. Ac 1:3,6 -11.

Quant au malfaiteur, il n’a jamais rempli les conditions requises pour aller au ciel.

Il n’était pas ''né de nouveau né'', il n’avait pas été baptisé dans l’eau ni engendré de l’esprit de Dieu ; cet esprit n’a d’ailleurs été répandu sur les disciples de Jésus que plus de 50 jours après l’exécution du malfaiteur. Jn 3:1-7 ; Ac 2:1-13.

Le jour de sa mort, Jésus avait fait une alliance pour un royaume céleste avec ceux qui étaient restés constamment avec lui dans les épreuves.

Le malfaiteur ne lui avait pas démontré une telle fidélité pendant sa vie. Il ne faisait donc pas partie de ce groupe. Lc 22:28-30.

Il existe des milliards et des milliards d’étoiles qui sont dans les cieux et pourtant, le Créateur de l’univers leur a donné un nom à chacune d’elles. Is 40:26.

Alors assurément quand viendra le jour de la résurrection, Dieu sera en mesure de se souvenir dans les moindres détails les personnes qui nous sont chers et les ramener à la vie. Jn 5:28-29 ; Rv 20:13.

Tous ne seront pas ressuscités. Mt 5:27-30 ; Lc 12:4-5.

La vallée de Hinnom était la décharge de Jérusalem. On y jetait des choses impures et des cadavres. Il y avait également là un feu continuel pour brûler les choses impures, les ossements des cadavres. Jos 15:8 ; 2R 23:10 ; Ne 3:13 ; 2Ch 28:1-3 ; 33:1-9 ; Jr 15:4 ;             19:1-11 ; 32:30-35 ; Mt 27:3-10 ; Ac 1:18-19.  

Voilà pourquoi le jugement des méchants est appelé symboliquement Gehinnom (géhenne).   Is 66:24.

Cette image symbolique ne représente pas la torture, mais une destruction complète.

Il est manifeste que Jésus utilisait le mot géhenne pour représenter une destruction complète résultant d’un jugement défavorable de Dieu, sans possibilité de résurrection pour vivre en tant qu’âme. Mt 10:28 ; 23:13-33.

Les paroles de Jésus doivent signifier que les effets destructeurs du jugement défavorable de Dieu ne s’atténueraient pas jusqu’à la destruction totale.

Il existe un petit nombre de chrétiens, 144.000, des fidèles de Christ Jésus, dont font partie les Apôtres qui sont relevés et bientôt seront tous réunis pour une vie spirituelle dans le ciel.         Lc 12:32-40 ; Jn 14:2-11 ; Rv 14:1.

Christ Jésus était le tout premier à bénéficier de cette résurrection céleste et glorieuse.     1P3:18 ; 1Cor 15:3-8, 12-28, 54-56 ; Jn 3:13.

Les Miracles

Définition : Événements qui suscitent l’émerveillement ou l’étonnement ; phénomènes physiques qui dépassent les pouvoirs connus de l’homme ou de la nature et qui sont par conséquent attribués à une intervention surnaturelle.

Dans les Écritures hébraïques, le terme môphéth, parfois traduit par miracle signifie également présage , prodige et signe . Dt 28:15-46 ; 1Ch 16:8-12.

Il est souvent employé de pair avec le mot hébreu ’ôth, qui signifie signe . Dt 4:34-35.

Dans les Écritures grecques, le mot dunamis, puissance , est rendu par œuvres de puissance ,  capacité, forcemiracleLc 6:17-19 ; 1Co 12:4-11.

Pour celui qui en est témoin, un miracle est quelque chose d’étonnant qu’il est incapable de reproduire ou même de comprendre pleinement.

C’est également une œuvre de puissance qui exige des pouvoirs ou une connaissance plus grands que les siens. Mais pour celui de qui proviennent ces pouvoirs, il ne s’agit pas d’un miracle. 

Ainsi, de nombreuses actions de Dieu stupéfient les humains.

Jésus accomplissait ses œuvres ouvertement et publiquement : il ne les entourait pas de mystère ; il guérissait tous ceux qui venaient à lui, sans connaître d’échec sous prétexte que certains n’avaient pas suffisamment de foi. Mt 8:14-17 ; 9:35-38 ; 12:9-13.

Les guérisons miraculeuses de même que la maîtrise des éléments se distinguaient par leur simplicité. Mc 4:35-41 ; 5:21-42 ; 10:46-52.

À la différence des prouesses de magie qui nécessitent des accessoires, une mise en scène, un éclairage et un rituel spéciaux, les miracles de la Bible étaient généralement accomplis sans ostentation ; souvent, ils faisaient suite à une rencontre imprévue, à une requête, et avaient lieu sur la voie publique ou à un endroit improvisé.                                                                                   1R13:1-6 ; Lc 7:11-17 ; Ac 28:1-10.

L’auteur du miracle ne cherchait pas à se mettre égoïstement en évidence ni à enrichir quelqu’un, au contraire, il désirait avant tout glorifier Dieu. Jn 11:1-6, 11-45.

Les miracles n’étaient pas des actes mystérieux destinés uniquement à satisfaire la curiosité des témoins ou à les déconcerter. Ils étaient toujours utiles aux autres, parfois directement sur le plan physique, et dans tous les cas sur le plan spirituel ; ils dirigeaient les personnes vers le vrai culte.

Tout comme rendre témoignage à Jésus, c’est ce qui inspire est l’esprit de la prophétie, de même, de nombreux miracles désignaient Jésus comme l’envoyé de Dieu. Rv 19:7-10.

Les miracles inscrits dans la Bible ne concernaient pas seulement des choses animées, mais aussi des choses inanimées : par exemple calmer le vent ou la mer, Mt 8:23-27, arrêter ou provoquer la pluie, 1R 17:1-7, 8-16 ; 18:41-45,   changer de l’eau en sang ou en vin,                  Ex 7:19-21 ; Jn 2:1-11.

Cette grande variété de miracles témoigne en faveur de leur origine divine, car il est logique de penser que seul le Créateur pouvait agir dans tous les domaines de la vie humaine et sur toutes sortes de matières.

Les miracles servirent plusieurs desseins importants.

Le plus fondamentalement, ils permettaient de prouver ou de confirmer qu’un homme bénéficiait de la puissance et du soutien de Dieu. Ex 4:1-9.

Aussi bien pour Moïse que pour Jésus, le peuple tira cette bonne conclusion. Ex 4:28-31 ;       Jn 9:1-16-41.

Par l’intermédiaire de Moïse, Yahvé avait promis qu’un prophète viendrait.

Les miracles de Jésus aidèrent ceux qui en étaient témoins à l’identifier à ce prophète.            Dt 18:18-22 ; Jn 6:14-15.

Au début du christianisme, les miracles s’ajoutèrent au message pour aider les gens à comprendre que Dieu soutenait le christianisme et qu'Il avait rejeté l’ancien système de choses juif. Hé 2:1-4.

Les dons miraculeux visibles au 1er siècle disparaîtraient avec le temps. Ils ne furent nécessaires que durant l’enfance de la congrégation chrétienne.1Co 13:4-11.

Aujourd’hui, on ne voit plus Dieu accomplir de tels miracles par l’intermédiaire de ses serviteurs chrétiens, parce que, dans le monde entier, ceux qui savent lire disposent de tout le nécessaire et pour aider ceux qui sont illettrés, mais disposés à écouter, il y a des chrétiens mûrs qui ont acquis connaissance et sagesse par l’étude et l’expérience.

Il n’est donc pas nécessaire, à l’heure actuelle, que Dieu opère ce genre de miracles pour attester que Jésus Christ est le Libérateur qu’il a établi, ou pour prouver qu’il soutient ses serviteurs.

Même si Dieu continuait d’accorder à ses serviteurs le pouvoir d’opérer des miracles, cela ne convaincrait pas tout le monde, puisque même les témoins oculaires des miracles de Jésus n’acceptèrent pas tous ses enseignements. Jn 12:9-11.

Toutefois, la Bible avertit les railleurs que Dieu fera des choses impressionnantes lors de la destruction du présent système de choses. 2P 3:1-10 ; Rv 18:1-24 ; 19:1-21.

En conclusion, on peut dire que les hommes qui nient l’existence des miracles soit ne croient pas en un Dieu et Créateur invisible, soit croient qu’il n’a pas manifesté sa puissance de façon supra humaine depuis la création. Mais leur incrédulité ne rend pas la Parole de Dieu sans effet. Rm 3:1-4,19-20.

Les récits bibliques des miracles divins, ainsi que le but louable qu’ils ont atteint, toujours en harmonie avec les vérités et les principes contenus dans sa Parole, inspirent confiance en Dieu. Ils donnent la ferme assurance qu’Il s’intéresse à l’humanité, qu’Il peut protéger ceux qui le servent et qu’Il le fera.

Les miracles sont des modèles typiques, et leur relation renforce la conviction que Dieu interviendra dans l’avenir d’une manière miraculeuse, qu’il guérira et bénira les humains fidèles. Rv 21:4.

Chaque année, des milliers de personnes handicapés se rendent à Lourdes dans l’espoir d’être miraculeusement guéries, comme cela fut le cas, soit disant pour certaines d’entres elles.

Peut-on supposer un instant si nous avions le don de guérir toutes sortes de maladies et handicaps, de choisir parmi nos enfants malades ou handicapés, l'un plutôt que l'autre ?

Combien plus le Père céleste, le Dieu Tout Puissant ferait bien plus encore, si Il était l’auteur de tels miracles. Mt 15:29-31, 32-38.

La Prière

 Définition : acte d’adoration par lequel on s’adresse au vrai Dieu, ou à des faux dieux.

La prière implique l’attachement, la confiance, le respect et un sentiment de dépendance envers celui qu’on prie.

Les divers mots hébreux et grecs relatifs à la prière emportent les idées suivantes :

Demander, faire requête, implorer, supplier, solliciter, demander instamment, insister (auprès de), implorer la faveur (de), rechercher, interroger, mais aussi louer, remercier et bénir.

Des requêtes et des supplications peuvent, bien sûr, être adressées à des humains, et les termes originaux ont parfois ces sens, Gn 44:18 ; 50:15-17 ; Ac 25:10-11, en revanche, le mot prière, employé dans un sens religieux, ne s’applique pas dans ces cas.

On peut supplier ou implorer quelqu’un de faire quelque chose, mais ce faisant on ne le considère pas comme son Dieu.

On n’adresserait pas, par exemple, de requête muette à cette personne, on ne le ferait pas si elle n’était pas présente, visible, ce qu’on fait lorsqu’on prie Dieu.

Il faut avoir foi en Dieu, être convaincu qu’il est Celui qui récompense ceux qui le cherchent réellement. Hé 11:1-40. S’approcher de Lui dans la pleine certitude de la foi. Hé 10:19-25,    36-39.

Il est indispensable de reconnaître qu’on est pécheur et, si on a commis des péchés graves, il faut  adoucir la face de Yahvé1S 13:8-14 ; Dn 9:12-19 en adoucissant d’abord son propre cœur dans un sentiment sincère de repentance, d’humilité et de contrition. 2Ch 34:22-33.

 Comment Prier et envers Qui ?

Alors Dieu peut se laisser implorer, accorder son pardon et écouter avec faveur tous ceux qui prennent conscience de leurs actes. 2R 13:1-4 mais en vain 5-9 ; 2Ch 7:11-22 ; là encore    33:1-20 ; Jc 4:6-12.

On n’a plus la sensation que Dieu barre tout accès auprès de Lui avec une masse nuageuse, pour que la prière ne passe pas. Lm 3:31-50.

Même si Dieu ne cesse pas complètement d’écouter celui qui ne suit pas ses conseils, les prières de cet homme risquent d’être entravées . 1P 3:5-12.

Ceux qui veulent se faire pardonner doivent pardonner aux autres. Mt 6:14-15 ; Mc 11:25-26 ; Lc 11:4.

Pour être acceptable, une prière doit être adressée à qui de droit, Yahwé Dieu. Elle doit aborder des sujets qui conviennent, c’est-à-dire conformes aux desseins déclarés de Dieu. Elle doit être dite de la bonne manière, par l’intermédiaire de la “ voie ” décidée par Dieu, "Christ Jésus". Elle doit être faite avec de bons mobiles et un cœur pur. Jc 4:1-6.

Il nous faut avoir de la persistance, Jésus disait : continuez à demander, à chercher, à frapper. Lc 11:5-13 ; 18:1-17.

Le livre des Psaumes tout entier consiste en prières et en chants de louange à Dieu, et son contenu donne une idée de ce que devrait-être la prière.

Jésus Christ est la seule et unique voie ou le chemin de réconciliation avec Dieu et d’accès auprès de Dieu dans la prière. Jn 14:6-7 ; 15:16 ; 16:23-24 ; 1Cor 1:2-3 ; Ép 2:13-18.

Mère de Jésus

Marie était de la tribu de Juda et une descendante de David.  Voilà pourquoi on pouvait dire de Jésus, son fils, qu’il était  issu de la semence de David selon la chair . Rm 1:1-3.

Par son père adoptif Joseph, un descendant de David, Jésus avait un droit légal au trône de David et, étant par sa mère la  descendance , la semence et la racine  de David, il possédait le droit naturel héréditaire au trône de David son père. Mt 1:1-16 ; Lc 1:26-33 ;   Ac 13:21- 23 ; 2Tm 2:8 ; Ré 5:1-5 ; 22:16.

Si la tradition est exacte, la femme de Héli, la mère de Marie,  était Anne, sa sœur avait une fille nommée Élisabeth, la mère de Jean le baptiseur.

Selon cette tradition, Élisabeth était donc la cousine de Marie.

Les Écritures elles-mêmes attestent que Marie était apparentée à Élisabeth, qui était “ d’entre les filles d’Aaron ” de la tribu de Lévi. Lc 1:5-6, 36.

Certains pensent que la sœur de Marie était Salomé, la femme de Zébédée dont les deux fils, Jacques et Jean, furent comptés parmi les apôtres de Jésus. Mt 27:55-56 ; Mc 15:40 ; 16:1 ;     Jn 19:25.

 Est-elle restée vierge ?

Selon la croyance de l’église romaine : « l’évangile de Luc, Marie a conçu Jésus ‘’sans connaître d’homme’’ (Lc 1:34). Matthieu ajoute de son côté : ‘’Avant qu’ils aient habité ensemble, Marie se trouva enceinte de l’Esprit Saint.’’ (Mt 1:18). La naissance de Jésus relève ainsi de l’un des plus grands mystères de la foi chrétienne : ce que l’on appelle la ‘’Conception virginale’’ (à distinguer de l’Immaculée Conception, dogme exclusivement catholique qui signifie que Marie est née sans avoir commis le péché originel). Ce débat n’est pas marginal pour une compréhension des origines et des divisions ultérieures du christianisme. Les évangélistes sont explicites : Luc 2:7 dit de Marie ‘’qu’elle enfanta son fils premier né’’, ce qui laisse supposer qu’elle eut d’autres enfants.Quand Jésus quitte son métier d’ouvrier du bois à Nazareth, son auditoire aussi s’inquiète en ces termes : Plus tard, à la synagogue, il est interpellé : ‘’n’est-ce pas le fils de Marie et le frère  de Jacques, de Joset, de Jude, de Simon ? Et ses sœurs ne sont-elles pas ici chez nous ?’’ (Mc 6:3). La Vierge Marie aurait-elle donc été mère d’une famille nombreuse ? Avec constance, au nom du dogme de la virginité perpétuelle de Marie, mère de Jésus, qu’elle défend, l’église catholique a refusé de reconnaître que Jésus avait eu des frères et des sœurs. Elle prend argument d’un autre passage, dans l’évangile de Jean, qui mentionne la présence  au pied de la croix du Christ d’une ‘’sœur’’ de Marie, connue comme étant la femme de Clopas et la mère de Jacques  et de Joseph. (Jn 19:25). Ces deux derniers ne seraient donc au mieux que les «cousins» de Jésus, appelés ‘’frères du Seigneur’’ à la manière orientale. »

 Pourquoi pas ! Mais selon moi, ce que l’église romaine confirme n’est affirmé dans ma Bible, comme quoi, Marie n’aurait pas eu d’autres enfants avec son époux Joseph et que Jésus n’aurait pas eu de demis frères et sœurs alors que les Ecritures Sacrées sembles montrer le contraire. (Mt 12:46-50 ; Mc 3:31-32 ; Lc 8:19-21). L’argumentation du passage de Jn 19:25 où l’église catholique explique que, «Messie Jésus n’a eu, que des cousins appelés frères à la manière orientale.» (Mt 27:56 ; Mc 15:40 ; 16:1 ; Lc 24:10) comme, il est aussi probable que Clopas était le même personnage que le nommé Alphée (Mt 10:3 ; Mc 3:18 ; Lc 6:15 ; Ac 1:13). Peut-être ces deux noms sont-ils des variantes de la prononciation de la racine araméenne, ou bien le même personnage avait-il deux noms qui étaient employés indifféremment, pratique qui n’avait rien d’exceptionnel à l’époque. Ce ne sont que des suppositions, tout est possible mais rien ne peut-être démontré. En vérité que savons nous de Marie ? Seulement ce qu’il y a d’écrit dans la Bible. Que sont-ils devenus, Marie, Joseph, les frères, les sœurs ou cousins après la crucifixion du Messie ? Nous n’en savons absolument rien. Se borner à croire et à faire croire que Marie et Joseph sont restés chastes jusqu’à leur mort ou jusqu’à à leur élévation dans les cieux c’est prendre un grand risque car il est aussi fort possible, qu’elle ait donné des fils et des filles à Joseph son époux. Cette croyance que l’église de Rome fait croire, c’est celle des religions orientales antérieures à la naissance du christianisme et dans celle de la Gaule, le concept mythologique de la naissance virginale était très présent. La «Vierge-Mère» représentait la fécondité comme une œuvre divine.

 A l’époque hellénistique, la naissance virginale d’empereurs et de rois leur attribuait un rôle exceptionnel. Dans le monde juif, la stérilité pour une femme est considérée comme une malédiction et le thème de la naissance miraculeuse est largement répandu. Dans la Bible, nombre de naissances, chez des femmes stériles, sont attribuées à une intervention divine : c’est le cas des naissances d’Isaac pour Sarah, de Samuel pour Anne, de Jean- Baptiste pour Elisabeth, la cousine de Marie. Mais faut-il pour autant créer des fables au nom de dogmes de la Virginité Perpétuelle de Marie, de son Immaculée Conception et de son Assomption ? A mon sens pas un instant ! Depuis cette dérive, Marie, est désignée comme étant, la Mère de Dieu, ce qui pour de nombreux croyants crédules reviendrait à penser, qu’elle est la Mère du Tout Puissant Créateur Dieu le Père. En ce cas pourquoi ne pas avoir créé un dogme à Abraham père de tous les croyants (Gn 17:3-5...) ? Pour des raisons évidentes l'église catholique ne niera rien de ce qu'elle affirme et ce qu’elle enseigne, elle continuera à défendre les dogmes hérétiques quoi qu'il arrive et cela au détriment des fidèles qui prient et aspirent en vain et non plus en Dieu le Père. Marie est dorénavant dans la conscience collective des fidèles, la mère de Dieu et mère de tous les hommes. Voici des témoignages de prêtres qui expliquent l’origine des dogmes mythologiques de Marie, ces fables :       http://www.ktotv.com/video/00042319/la-vierge-marie Explications divergentes d’un prêtre catholique et celle d’un protestant sur la divinité, la dévotion, l’immaculée conception, la grâce et le rôle de Marie dans l’église du monde temporel : https://www.youtube.com/watch?v=YIPL5E7_Uo4. A par avoir été choisit par le Très haut pour enfanter Messie Jésus, son Fils et avoir rempli son rôle de mère aimante, Marie n'a rien fait d'exceptionnelle en comparaison de la vie de Noé, d'Abraham et de biens d'autres oints, qu’une toute autre mère envers sa progéniture. Marie est membre du corps de l'Eglise du Messie, mais elle n'est pas la Mère de l'Eglise de Christ comme Abraham est le père de tous les croyants, il n’est pas pour autant, le Père du Temple Spirituel du Seigneur Messie Jésus.

Jeux d'argent est-ce un péché ? 

La Bible ne précise pas si cela est un péché, néanmoins pour un croyant il est préférable d'être guidé par l'Esprit Saint et non par le hasard. 1Tm 6:9-10 ; Pv 13:11 ; 23:4-5 ; Ec 5:9-10 ; Mt 6:24-26 ; 1P5:7.

Le Suicide, un Péché ?

Il n’existe aucun passage de la Bible disant « que le suicide est un péché ». Il n'y a donc aucune raison de refuser d'enterrer normalement ces personnes selon leur croyance. Si une église prétend le contraire, elle n'a aucune base biblique pour cela. Seul Dieu est juge !

Mais il n’empêche qu’au commencement Dieu créa avant toutes choses, la Vie. Gn 1:26 ;       Jn 1:1…. Il est écrit dans le livre d’Exode 20:13 « Tu ne tueras point ». Cette interdiction ne concerne pas seulement autrui, mais aussi soi-même.

La Bible renferme des récits de souffrances, de tortures effroyables qu’ont subis de nombreux chrétiens, ils n’ont pas pour autant cédé à la tentation du suicide.

Tout croyant devrait considérer le suicide comme l’équivalant d’un meurtre, car cet acte irrémédiable qui bafoue et piétine la création de Dieu, le premier né de toute la création, son Fils.

En plus d’être un acte d’égoïsme et de lâcheté, le suicidé ne prend aucun compte de la peine et de la culpabilité que  ressentent ceux et celles qui laisse dans la souffrance. 

Les suicides les plus connus dans la Bible : Samson (Jg 16:30), Saül (1S 31:4) et de Judas   (Mt 27:5).

Le Shabbat

Le Shabbat, "jour de repos" débute depuis le coucher du soleil le vendredi soir, jusqu’au coucher du soleil le samedi pour rendre un culte à Dieu. Gn 2:1-3 ; Ex 20:8-11.

Le Shabbat peut-il être observé un tout autre jour au lieu du 7e ?

Après une recherche approfondie sur le thème voici ce qu’il en ressort. 

La Bible enseigne : Mt 5:17-20 ; 12:1-9 ; Lc 4:16 ; 13:10-16 ; Mc 2:27-28 ; 1Cor 11:1 ;                 Ac 13:13-15 , 42-44 ; 17:2 ; 18:4

En revanche, Paul révèle : Ac 20:7 ; Rm 14:1-23 ; Ga 4:1-11 ; Col 2:16-17. Hé 4:4,9-11 ;            Jc 2:10-11.

Un échantillon de l’enseignement du clergé.

« Youcat » 

Livre de catéchisme de l’église catholique pour les jeunes

Paris 2011

A la question Y 143 : le pape est-il vraiment infaillible ?

Réponse :Quand une vérité de foi évidente est soudain niée ou mal interprétée, l’église doit avoir, en dernier recours, une voix, qui affirme de manière définitive ce qui est vrai et ce qui est faux. Cette voix est la voix du pape. En tant que successeur de Pierre et 1er des évêques, il a le seul le pouvoir de formuler la vérité controversée, en conformité avec la tradition de la foi de l’église, de manière à ce que cette vérité soit présentée aux fidèles comme étant « à croire avec certitude » pour tous les temps. On dit alors : « le pape proclame un dogme »

A partir du livre « Youcat », vérifions 12 questions réponses de l’infaillibilité de l’enseignement de l’église catholique.

Y 76 : Dieu s’est-il incarné en Jésus Christ ?

: En Jésus, Dieu a endossé notre chair humaine et mortelle, il a partagé notre destinée terrestre, nos souffrances et notre mort et il est devenu l’un d’entre nous en toutes chose, à l’exception du péché.

Y 77 : l’église a maintenu fermement la foi en Jésus Christ vrai Dieu et vrai homme en une seule personne.

Réflexion : En vérité, à aucun moment dans la Bible il est écrit que Dieu s’est incarné en son fils. Dans l’évangile de Jean, il est question d’engendrement*. Jn 3:18.

Dans le livre de la genèse au chapitre 1 et verset 26 à qui Dieu parle t-il si ce n’est qu’à son fils, le premier né de toute vie de la création.

En outre, il est vrai que Dieu fit en sorte que son fils, l’archange Michel s’incarne en un fils d’homme du nom de Jésus, le Christ. Rv 12:1-17.

* Engendrement, action d’engendrer par définition reproduire par génération ; procréer. En aucun cas il est question d’incarnation.

Y 82 : N’est-il pas choquant de donner à Marie le titre de « mère de Dieu » ?

: Non. Donner à Marie le titre de mère de Dieu, c’est confesser que son fils est Dieu. Marie n’a pas seulement donnée le jour à un homme qui serait  « devenu » Dieu après sa naissance, mais elle portait déjà dans son sein un enfant qui était le vrai fils de Dieu.

Rfl Si ! C’est un blasphème en vers le Tout Puissant car cela voudrait dire qu’elle est une déesse, une divinité et qu’elle serait au dessus de Dieu puisqu’elle enfanta Dieu. En même temps l’église se contredit, car tantôt elle prétend que, Jésus est le fils de Dieu et tantôt il est Dieu. Ex 20:3-5N’était-il pas au commencement le Verbe ? Jn 1:1-18.

En revanche, étant Fils de Dieu, nous pouvons considérer qu’Il est un dieu mais pas Dieu le Père ! 

Y 83 : Que signifie « l’immaculée Conception de Marie » ?

: L’église croit que la bienheureuse Vierge Marie à été, au premier instant de sa conception, par une grâce et une faveur singulières du Dieu Tout Puissant et en vue des mérites de Jésus Christ sauveur du genre humain, préservée intacte de toute souillure du péché originel.

Y : Très vite, dans l’histoire de l’église, les chrétiens ont professé l’Immaculée conception de marie. L’expression signifie que, depuis le début, Dieu a préservé la Vierge Marie du péché originel.                                                                                         

Rfl Immaculé signifie : qui n’a pas la moindre tache ou qui est une blancheur absolue.

Marie fut choisie par Dieu entre toutes les femmes pour porter l’enfant divin, le Messie. En tant que femme, elle remplie son rôle de mère avec honneur comme peut le faire toutes mères respectables et aimantes ni plus ni moins. Par la suite, elle donna à son époux, Joseph, des fils et des filles qu’elle éleva.

Elle n’a rien fait d’autre d’extraordinaire que l’on puisse lui attribuer. Entre-autre, on ne sait pas plus sur le déroulement de sa vie. Mt 13:54-56.

Qui plus est, le péché originel, c’est le péché qui entache tous les êtres humains, en tant que descendants d’Adam et d’Eve.

Par conséquent, Marie ne peut être dès sa conception immaculée et avoir été préservée du péché originel. Rm 5:12.

Y 85 : Pourquoi Marie est-elle également notre mère ?

: Marie est notre mère parce que le Christ, le Seigneur, nous l’a donnée pour mère. Femme, voici ton fils… Voici ta mère (Jn19,27). L’église a toujours considéré que ces paroles que, du haut de la croix, Jésus adresse à Marie et au disciple qu’il aimait, étaient la remise de l’église à Marie. Ainsi, nous pouvons l’invoquer et lui demander d’intercéder pour nous auprès de Dieu.

Rfl Lorsque l’on lit attentivement Jn 19:25-27, en aucune façon Jésus remet entre les mains de Marie, l’église, il n’en fait même pas allusion. Il a aussi dit dans d’autres circonstances :    Mc 3:31-35. La Pierre de l’église chrétienne n’est autre que : Mt 16:13-19.

Y 136 : Quel est le point de vue de l’église sur les autres religions ?

: L’église respecte tout ce qui est bon et vrai dans les autres religions. Elle  accorde de la valeur et milite en faveur de la liberté religieuse comme faisant partie des droits de l’hommes. Elle sait pourtant que Jésus Christ est le seul sauveur de toute l’humanité. Lui seul est le chemin, la vérité et la vie (Jn 14,6).

Y : Comme le judaïsme et le christianisme, l’islam est une religion monothéisme. Les musulmans vénèrent le Dieu créateur et considèrent qu’Abraham est leur père dans la foi. L’église enseigne que tous les hommes qui, sans qu’il est faute de leur part, ne connaissent pas le Christ et l’église, mais qui cherchent Dieu sincèrement et suivent la voix de leur conscience, obtiennent le salut éternel.

Rfl Cette interprétation n’est pas celle de la Pensée de Dieu, bien au contraire, parce qu’elle fait croire aux croyants que les religions monothéismes sont approuvées aux yeux de Dieu. Ce n’est pas parce que, une religion est monothéisme qu’il faut croire en elle et encore moins, si elle ne reconnais pas Jésus Christ comme étant le Fils du Dieu de l’univers ou qu’elle vénère une pensée d’homme (Muhammed) bien plus que la Pensée de Dieu (Jésus-Christ). Ce qui prouve que l’église romaine est semblable et s’accorde aux faux cultes qui peuplent la terre.  Ex 20:3-6 ; 2R 17:24-41 ;  Col 2:6-8, 18-23.

Les droits de l’homme pour les chrétiens se résument en cela : Mt 7:12 ; Mc 12:29-31.                          

Y 146 : Que signifie « la communion des saints » ? 

: Tous ceux et toutes celles qui ont mis leur espérance dans le Christ et lui appartiennent par le baptême, qu’ils soient vivants ou décédés, font partie de la « communion des saints ». Parce que nous ne sommes qu’un seul corps dans le Christ, nous vivons dans une communion qui englobe le ciel et la terre.

: Par-delà la mort, nous pouvons nous prêter assistance mutuellement. Nous pouvons invoquer le saint dont nous portons le nom ou nos saints préférer, mais aussi des proches qui sont décédés et dont nous croyons qu’ils sont déjà parvenus auprès de Dieu. Inversement, nous pouvons venir en aide à nos défunts qui sont encore dans le processus de purification en priant pour eux.

Rfl Marie, la mère de Jésus fut certainement baptisée dans l’eau. Mais fut-elle baptisée de l’Esprit Saint au même titre que les apôtres ? Jn 3:1-6 ;  Ac 2:1-11,14-18.

Il existe seulement un petit nombre de chrétiens, 144000, que l’on nomme oints qui ont ou vont être ressuscités et êtres réunies auprès de Dieu. Pour le reste de l’humanité qu’elle soit du passé ou du présent, vivants ou non, il faudra attendre l’ultime jugement de Dieu.                      Jn 14:1-3 ; Rv 14:1.

Les morts se reposent mais ne souffrent pas, ne pensent pas, n’entendent pas et ne voient. Ils ne peuvent donc pas exaucer de prières. Ec 9:5-6

Y 148 : Marie peut-elle vraiment nous aidée ?

Y Oui. Que Marie puisse nous aider, l’église en a fait l’expérience depuis son origine. Des millions de chrétiens peuvent en témoigner. Nous pouvons être certains qu’elle intervient pour nous aux deux moments les plus importantes de notre vie : « Maintenant et à l’heurs de notre mort. »

Rfl Non ! Ce n’est pas ce qui est écrit dans la Bible. Mais peut importe, l’église sait que le croyant en règle général ne va jamais de lui même vérifier les textes sacrés parce qu’il ne mettra jamais en doute l’infaillibilité spirituel du pape, le dogme de l’église et c’est bien là le problème. Jn 5:39-40 ; Ps 146:3-6 ; Jn 3:1-7,13 ; 14:6.

L'assomption de Marie est l'événement au cours duquel la Vierge Marie, Mère de Jésus, au terme de sa vie terrestre, serait entrée directement dans la gloire du ciel, âme et corps, sans connaître la corruption physique qui suit la mort. Très ancienne dans les églises d’Orient et d’Occident, quoique sans référence scripturaire* et fêtée liturgiquement dès le VIIIe siècle, cette conviction a été définie comme dogme religieux (c’est-à-dire vérité de foi) par l’église catholique en 1950. 

Dans la Bible, il n'existe aucune prière en direction d'Abraham, d'Isaac, de Jacob, de Moïse et pas plus en direction des Apôtres et encore moins en direction de Marie mère de Jésus-Christ.

Pourquoi les différentes églises dites chrétiennes encouragent-ils à faire différemment ce que Christ-Jésus demande de faire ? Mt 6:5-6-13; Jn 17:1-26.

De plus Personne n’est en mesure de raconter plus sur Marie que la Sainte Bible elle même et ce qu’elle est devenue après la mort de Christ Jésus, son fils. Aucun ouvrage écrit n’existe à son sujet.   

Y 197 : Pourquoi l’église tient-elle à baptiser les petits enfants ?

Y : La pratique de baptiser les petits enfants est une tradition très ancienne de l’église. Il y a à cela une unique raison : avant que l’homme ne fasse le choix de Dieu, Dieu le choisit. Le baptême est par conséquent une grâce, un cadeau immérité venant de Dieu qui accueille sans conditions. Des parents croyants qui veulent le bien de leur enfant veulent donc qu’il reçoive le baptême. Le baptême délivre leurs enfants de l’influence du péché originel et de la puissance de la mort. C’est une injustice de différer le baptême d’un enfant. Et on ne peut imposer le baptême arbitrairement à personne.

Rfl : Une tradition très ancienne de l’église universelle, soit ! Mais non celle du corps du Christ, l’Eglise Chrétienne ! Car il n’existe aucun exemple dans la Bible, qu’un enfant, qui plus est, un nouveau né, fut baptisé. Mais si on ne peut imposer le baptême arbitrairement à personne, cela voudrait dire que l’église ne considère pas l’enfant comme une personne à par entière ? Dans ce cas précis cela voudrait dire qu’elle bafoue l’opinion du jeune futur adulte mais également son libre arbitre.

Pour un adulte, il n'est pas évident de discerner le vrai du faux et de se protéger du mal. Ô combien alors, il serait difficile pour un nouveau né de pouvoir le faire ! 

Au travers l’ignorance des parents et cela depuis des siècles, c’est ainsi que l'église universelle a élargi son cheptel dans le baptême des nouveaux nés. Le Baptême est une décision personnelle pour la personne consciente de la signification. Elle seule fait le choix de se faire baptiser ou non. C'est ce que l'on nomme "le Libre arbitre." Mc 1:9 ; Ac 2:36-41; 8:9-13, 26-39.                                                          

Y 204 : Que dit l’Ecriture Sainte sur le sacrement de la confirmation ?

Y : Déjà dans l’Ancien Testament, le peuple de Dieu attendait l’effusion, la venue, de l’Esprit Saint sur le Messie. Jésus vécut durant toute sa vie dans un Esprit tout particulier d’amour et de communion parfaite avec son Père du ciel. Cet Esprit de Jésus était « L’Esprit Saint », que le peuple d’Israël désirait ; et ce fut ce même Esprit que Jésus promis à ses  disciples, ce même Esprit que Jésus qui descendit sur les disciples cinquante jours après Pâques, le jour de la pentecôte. Et c’est encore cet Esprit Saint de Jésus qui descend sur tous ceux qui reçoivent le sacrement de la confirmation. 

Rfl L’église universelle fait croire à ses ouailles qu’elle est remplit du même Esprit Saint et que lors du sacrement de la confirmation systématiquement le croyant recevra de cet Esprit Saint de Jésus. Il en est rien !

Car si tel était le cas, ils auraient en eux la Puissance de Dieu, autrement dit : la possibilité de guérir toutes maladies et infirmités, de vie et de mort sur tout individu, comme cela fut le cas pour les disciples oints, apôtres de Jésus. Et surtout, ils n’interpréteraient pas la Parole de Dieu en la déformant comme le faisaient les Pharisiens. Dn 7:18 ; Mt 9:35-38 ; 10:1,8-10 ; 23:13-36 ; Ac 2:14-18 ; 11:1-18.

Y 208 : Qu’est ce que l’eucharistie ?

Y : Après le baptême et la confirmation, l’eucharistie est le troisième sacrement de l’initiation chrétienne. L’eucharistie est le centre mystérieux de l’ensemble de ces sacrements, car le sacrifice historique de Jésus sur la croix est rendu présente de manière cachée et non sanglante pendant la consécration. Ainsi l’eucharistie est « source et sommet de toute vie chrétienne. » Tout est ordonnée à elle ; il n’y a pas de plus grand bien que nous puissions obtenir. Quand nous mangeons le pain rompu, nous nous unissons à l’amour du Christ qui a livré son corps pour nous sur le bois de la croix ; quand nous buvons à la coupe, nous nous unissons à celui qui, dans son sacrifice, est allé jusqu’à verser son sang pour nous. Nous n’avons pas inventé ce rite. Jésus lui même a célébré la dernière Cène avec ses disciples, anticipant ainsi sa mort. Il s’offrit à ses disciples sous les signes du pain et du vin et les exhorta à célébrer l’eucharistie à partir de ce moment-là et au-delà de sa mort. Faites ceci en mémoire de moi !  1Co 11,24.

Rfl Ok ! Mais alors pourquoi tenir compte seulement du verset 24 et non le texte en son entier 1Cor 11:17-34 ? Car à partir du verset 27, Paul précise un point important qu’il ne faut pas négliger et ce que doit avoir comme réflexion un chrétien concernant, le Saint Corps du Christ.

Y 358 : Pourquoi l’Ancien Testament interdisait-il toutes représentations de Dieu,             et pourquoi nous, les chrétiens, n’observons nous plus cette règle aujourd’hui ? 

: Pour protéger le mystère de Dieu, et se démarquer des images des cultes païens, le premier commandement déclarait : Tu ne te feras aucune image de Dieu (Ex 20,4). Mais comme Dieu, en Jésus Christ, a pris un visage humain, le christianisme a supprimé cette interdiction des images. Dans l’église orientale,  les icônes sont même considérées comme sacrées.

Y : Par son incarnation, Dieu n’est plus « non représentable » : depuis Jésus, nous pouvons faire une image de ce qu’il est : Qui m’a vu, a vu le Père Jn 14,9.

Rfl : Ce n’est parce que l’église orientale idolâtre des icônes que Dieu approuve, bien au contraire. La loi est un commandement, celui qui ne respect pas un seul de ses commandements ne respecte pas la loi et par conséquent il ne possède pas la foi.                    Jc 2:10-13-26.

A la question de Philippe en Jn 14:8, Jésus ne fait pas entendre qu’il faut passer outre ce commandement d’Ex 20:4. Il fait savoir que si nous croyons en Lui, il nous faut l’imiter en tout point dans l’obéissance et dans le respect des commandements de son Père Céleste.              Jn 14:11.                          

Conclusion

 Préface du livre Youka, page 10, le pape Benoît XVI, écrit :

Y : Vous devez savoir en quoi vous croyez. Vous devez connaître votre foi avec la même précision que celle d’un spécialiste en informatique qui connaît le système d’exploitation d’un ordinateur. Vous devez la comprendre comme un bon musicien comprend sa partition. Vous devez être encore plus enracinés dans votre foi que la génération de vos parents, pour affronter avec courage et détermination les défis et les tentations de notre époque. 

Rfl Comme nous le précisons dans l’introduction il appartient à chacun de juger de l'infaillibilité des l'églises dites chrétiennes de la manière qu'elles étudient et interprètent la Pensée de Dieu.

Nous disons seulement qu’il y a une ombre et que cette ombre cache une machination.             Jr 23:1-4 ; Mt 24:35 ; Hé 4:12-13 ; Jn 12:44-50. Rm 1:28-32

Exodus

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