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23 septembre 2015

L'Or Rouge

 Le Sang

Faut-il accepter plus facilement un verre d’eau empoisonnée sous prétexte que la majeure partie du contenu est constituée d’eau pure ?

Personne ne pourra jamais garantir que tous les déchets ont été rejetés et éliminés avant qu’il ne soit donné à quelque un d’autre.

De plus en plus de donneurs sont écartés parce qu’ils ont un mode de vie à haut risque ou qu’ils ont pu être exposés lors d’un voyage à des maladies ou à des parasites.

Au Zimbabwe, 70% du sang est actuellement fourni par des écoliers, fidélisés par des compensations.

En République Tchèque, en cours d’une campagne, on invité les citoyens à donner de leur sang contre quelques litres de bière.

Dans une région de l’Inde, les autorités ont organisé du porte à porte pour trouver des donneurs qui voudraient bien réapprovisionner les stocks épuisés.

En juin 2005, l’Organisation Mondiale de la Santé a reconnue la probabilité d’être transfusé sans risque varie énormément d’un pays à un autre.

Dans de nombreux pays, il n’existe pas de programme à l’échelle nationale garantissant des normes de sécurité pour la collecte, des tests et le transport du sang et des produits sanguins.

Il arrive même que les stocks de sang soient conservés dangereusement, par exemple dans des réfrigérateurs domestiques mal entretenus ou dans des glacières. 

En l’absence de toutes normes de sécurité.

Quiconque reçoit le sang d’un autre court essentiellement les mêmes risques qu’un patient qui subit une greffe. Le système immunitaire tente à rejeter les tissus étrangers.

Dans certains cas, les transfusions peuvent empêcher le déclenchement de réactions immunitaires naturelles.

Certains médecins maintiennent que le sang allogène celui d’un autre humain est un médicament dangereux et que son utilisation serait interdite s’il était évalué selon les mêmes que les autres médicaments.

Si la médecine de la transfusion présente autant de dangers, pourquoi le sang continue t-il à être utilisé aussi largement, surtout quand il existe d’autres solutions ?

De nombreux médecins sont réticents à changer leurs méthodes ou ne sont pas au courant des thérapeutiques de remplacements utilisées aujourd’hui.

Les médecins prennent la décision de transfuser en fonction de l’enseignement qu’ils ont reçu, de leur culture et de leur jugement clinique.

D’autres affirment que le coût des alternatives à la transfusion est trop élevé, bien que des rapports récents tendent à prouver le contraire.

Un patient qui est opéré sans transfusion bénéficie par définition d’un traitement de la meilleure qualité qui soit.

Lorsque les donneurs fournissent du sang, il s’agit généralement de sang total. Mais, dans de nombreux cas, c’est du plasma qui est prélevé. Alors que dans certains pays, on transfuse du sang total.

COMPOSITION DU SANG 

Le plasma représente entre 52 et 62% du sang total.

C’est un liquide jaune paille et contient 91,5% d‘eau. 

Les globules rouges constituent entre 38 et 48% du sang total.

Les globules blancs constituent entre 1% du sang total.

Les plaquettes représentent moins de 1% du sang total.

 LE FRACTIONNEMENT

La science et la technologie permettent d’identifier et d’extraire du sang certains éléments par un procédé appelé fractionnement.

A titre d’exemple : on peut fractionner l’eau de la mer, constituée à 96,5% d’eau, afin d’en extraire les autres substances présentes comme le magnésium, le brome et bien sûr, le sel.

Pareillement, le plasma sanguin, qui représente plus de la moitié du volume du sang total, contient environ 90% d’eau. Dans le cadre d’une thérapeutique, un médecin peut préconiser une préparation concentrée d’une fraction de plasma.

Une de ces préparations est le cryoprécipité, riche en protéines, que l’on obtient par congélation puis décongélation du plasma.

Certaines protéines plasmatiques sont utilisées couramment en injections pour stimuler le système immunitaire après qu’il a été exposé à des agents infectieux.

 Selon Science News, les chercheurs n’ont identifié que quelques centaines de protéines sur les milliers que véhicule le sang. A mesure que s’affinera leur compréhension du sang, de nouveaux produits dérivés de ces protéines seront susceptibles de voir le jour.

C’est l'hème, qui renferme un atome de fer, qui apporte au sang son rouge intense, une unité de HBOC a la même couleur qu’une unité de globules rouges, composant majeur dont il est extrait.

Contrairement aux globules rouges, qui doivent être réfrigérés et jetés au bout de quelques semaines, le HBOC peut être conservé à température ambiante et utilisé plusieurs mois après sa fabrication.

Et puisque la membrane du globule, qui contient les antigènes propres à chaque individu, a disparu au cours de la préparation, il n’existe aucun risque de réaction grave due à une incompatibilité de groupes sanguins.

Cependant, comparé à d’autres fractions sanguines, le HBOC suscite plus de questions chez certaines personnes qui, par motif de conscience, cherchent à obéir à la loi de Dieu sur le sang. 

Pourquoi ? 

Parce que, dans la mesure où il est dérivé du sang on verra deux objections à son utilisation.

Premièrement, il assume la fonction principale d’un composant majeur du sang, les globules rouges.

Deuxièmement, l’hémoglobine, dont le HBOC est dérivé, constitue une portion significative de se composant.

Un nombre croissant d’hôpitaux propose une autre solution : la chirurgie sans transfusion, cette pratique est maintenant répandue dans beaucoup de centres hospitaliers qui attirent l’attention du grand public sur les techniques de chirurgie sans transfusion.

Actuellement, des milliers de médecins traitent leurs patients sans transfusion.

Un neurochirurgien s’est récemment exprimé en faveur de l’emploi des alternatives à la transfusion. Il a déclaré : c’est incontestablement ce qui il y a de plus sûr, pour tout patient.

Notez qu'il est important de respecter les souhaits des patients,  et qu'il nous faut faire très attention à ce qu’on nous introduit dans notre organisme.

LA VÉRITABLE VALEUR DU SANG  

Gn 9:4 ; Lv 3:17 ; 7:26-27 ; 17:13-14 ; Dt 12:16,23-24

Il a environ 2000 ans, les croyants ont reçu le commandement divin de s’abstenir du sang.

 Ac 15:19-20,28-29 ; Ep 1:7.  

Les chrétiens les plus fidèles à la Parole écrite font tout leur possible pour vivre en accord avec la Bible, qui, ils en sont convaincus, est inspirée de Dieu. 2Tm 3:16-17; Rv 4:11.

Or ce livre encourage les adorateurs de Dieu à rejeter les pratiques et les habitudes qui mettent leur santé ou même la vie en danger, comme les excès de table, l’abus de l’alcool et la consommation de drogues. Pv 23:19-21 ; 2Cor 7:1 ; Mt 7:12 ; 1Tm 4:8-9.

Quand ils tombent malades, ils se montrent raisonnables en cherchant un traitement médical et en acceptant la grande majorité des solutions qu’on leur propose. Ph 4:5.

Ils obéissent au commandement biblique, raison pour laquelle ils tiennent à recevoir des traitements de substitution non sanguins. AC 21:25.

La solution ?

Des restaurateurs non sanguins du volume plasmatique autrement dit, des substituts du plasma.

Après toutes ces réflexions : prendrions-nous encore le risque de boire un verre d'au empoisonnée sous prétexte que la majeure partie du contenu est constituée d'eau pure ?   

Exodus 

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